Lorsque nous allons en Italie, nous ne prenons jamais l'autoroute. Nous empruntons la route du bord de mer.
Moins rapide, mais tellement plus agréable.
Nos départs se font de très bonne heure et des étapes ponctuent notre parcours.
Première étape : Villefranche sur mer. Il est tôt et le soleil se lève sur la rade malgré les nuages. Petit café.
Puis arrêt à Menton et deuxième petit café.
Visite rituelle du musée Jean Cocteau. Le nouveau, celui qui fit couler temps d'encre et aussi l'ancien le bastion.
Vous allez me dire pourquoi à chaque fois ou presque ?
Premièrement : je suis une inconditionnelle de Jean Cocteau, tout m'enchante chez lui.
Deuxièmement : cette collection privée unique au monde dont fit donation à la ville de Menton Séverin Wunderman, collectionneur passionné de l'œuvre protéiforme de l'artiste , est composée de 1800 pièces auxquelles, il faut rajouter les 240 photos données par le photographe Lucien Clergue.
Tous les ans 200 œuvres sont décrochées et 200 nouvelles les remplacent.
Donc si on aime on passe et on repasse !
Je ferai un article spécial sur le musée et les œuvres de Mr Cocteau.
La plaquette du musée en noir et blanc. Ces fenêtres particulières et le parvis en galets représentant un lézard, reproduction à grande échelle de celui créé par Cocteau pour le musée du Bastion.
Le lézard en galets. Il lézarde au soleil sur un plage de Menton.
La mer s'offre au regard à travers les ouvertures de l'architecture du musée.
Puis arrêt à Airole chez notre ami Rosario de la Trattoria Bianca, que j'avais déjà présenté ici clic . Je vais juste vous montrer deux des nombreux antipasti de ce jour.
Cèpes frais panés tout croustillants.
Cépes marinés à l'huile d'olives
Et au fond dans la salle qui sert aux thés dansants (et oui on est dans un village).
Le séchage des tomates. Quand je vous dis que tout est fait maison !
Elles n'étaient pas prêtes mais je suis repartie avec un sac plein, a mettre en bocal arrivée à la maison.
Au fond le four à bois pour la pizza.
Sur la table les tomates sèchent avec gousses d'ail et herbes fraîches.
On reprend la route et nous voici arrivés à Bordighera.
L'hôtel " La Villa Elisa " dont Norma m'avait parlé. Une villa à l'italienne qui a su allier un charme désuet et un confort moderne. Salon de massage, piscine, ascenseur juste pour 2 étages, service impeccable, personnel très compétent, restaurant de trés bonne qualité. ( on dirait un dépliant touristique non ? )
Photo du dépliant. Heu non pardon de l'hôtel.
Le jardin est magnifique, planté de citronniers. Actuellement les fruits sont verts mais commencent a murir est d'ici deux mois tout le verger sera jaune.
Une cactée qui doit avoir vu passer plusieurs générations d'hôtes. Elle dépasse allégrement les deux étages et atteint le toit.
Les villas de Bordighera témoins d'un riche passé balnéaire.
La mer est au fond mais un brouillard de chaleur empêche la vue. Dommage !
La salle du petit déjeuner dans la véranda.
Une fresque dans le bar de l'hôtel.
Cette première journée se termine sur les volets de la chambre. Volets que l'on trouve tout le long de la Riviera italienne et française
Malheureusement le lendemain les entrées maritimes vont former un brouillard épais et le surlendemain la pluie sera au rendez-vous. Mais malgré cela je vais prendre encore quelques photos qui ferons certainement l'objet d'un autre billet.
Ah oui j'oubliais les tomates de notre ami Rosario.
Elles vont bien, ça y est elles baignent !
Bonne soirée à tous et joli vendredi qui vient. Mireille
Moins rapide, mais tellement plus agréable.
Nos départs se font de très bonne heure et des étapes ponctuent notre parcours.
Première étape : Villefranche sur mer. Il est tôt et le soleil se lève sur la rade malgré les nuages. Petit café.
Visite rituelle du musée Jean Cocteau. Le nouveau, celui qui fit couler temps d'encre et aussi l'ancien le bastion.
Vous allez me dire pourquoi à chaque fois ou presque ?
Premièrement : je suis une inconditionnelle de Jean Cocteau, tout m'enchante chez lui.
Deuxièmement : cette collection privée unique au monde dont fit donation à la ville de Menton Séverin Wunderman, collectionneur passionné de l'œuvre protéiforme de l'artiste , est composée de 1800 pièces auxquelles, il faut rajouter les 240 photos données par le photographe Lucien Clergue.
Tous les ans 200 œuvres sont décrochées et 200 nouvelles les remplacent.
Donc si on aime on passe et on repasse !
Je ferai un article spécial sur le musée et les œuvres de Mr Cocteau.
La plaquette du musée en noir et blanc. Ces fenêtres particulières et le parvis en galets représentant un lézard, reproduction à grande échelle de celui créé par Cocteau pour le musée du Bastion.
Le lézard en galets. Il lézarde au soleil sur un plage de Menton.
La mer s'offre au regard à travers les ouvertures de l'architecture du musée.
Puis arrêt à Airole chez notre ami Rosario de la Trattoria Bianca, que j'avais déjà présenté ici clic . Je vais juste vous montrer deux des nombreux antipasti de ce jour.
Cèpes frais panés tout croustillants.
Et au fond dans la salle qui sert aux thés dansants (et oui on est dans un village).
Le séchage des tomates. Quand je vous dis que tout est fait maison !
Elles n'étaient pas prêtes mais je suis repartie avec un sac plein, a mettre en bocal arrivée à la maison.
Au fond le four à bois pour la pizza.
Sur la table les tomates sèchent avec gousses d'ail et herbes fraîches.
On reprend la route et nous voici arrivés à Bordighera.
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Bordighera. Claude Monnet 1884 Art Institute de Chicago |
L'hôtel " La Villa Elisa " dont Norma m'avait parlé. Une villa à l'italienne qui a su allier un charme désuet et un confort moderne. Salon de massage, piscine, ascenseur juste pour 2 étages, service impeccable, personnel très compétent, restaurant de trés bonne qualité. ( on dirait un dépliant touristique non ? )
Le jardin est magnifique, planté de citronniers. Actuellement les fruits sont verts mais commencent a murir est d'ici deux mois tout le verger sera jaune.
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Jardin à Bordighera Claude Monet 1884. Musée de l'Hermitage St Petersbourg |
Une cactée qui doit avoir vu passer plusieurs générations d'hôtes. Elle dépasse allégrement les deux étages et atteint le toit.
La mer est au fond mais un brouillard de chaleur empêche la vue. Dommage !
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Villas à Bordighera Claude Monet 1884 Musée d'Orsay Paris |
Cette première journée se termine sur les volets de la chambre. Volets que l'on trouve tout le long de la Riviera italienne et française
Malheureusement le lendemain les entrées maritimes vont former un brouillard épais et le surlendemain la pluie sera au rendez-vous. Mais malgré cela je vais prendre encore quelques photos qui ferons certainement l'objet d'un autre billet.
Ah oui j'oubliais les tomates de notre ami Rosario.
Elles vont bien, ça y est elles baignent !
Bonne soirée à tous et joli vendredi qui vient. Mireille